VISITE A DESHAIES UN APRES-MIDI AU JARDIN BOTANIQUE
Le jardin botanique est un lieu enrichissant où les plus belles fleurs peignent de toutes les couleurs. C'est un lieu où le vert prend toute son importance, où la nature maîtrise chaque espace.
Cette visite est une occasion d'une apaisante promenade à travers la flore et aussi à travers les allées, les balisiers, palmiers, hibiscus, orchidées, bougainvilliers, roses porcelaine, etc.... accompagneront votre marche. Au cours de cette pause détente petits et grands pourront observer plusieurs espèces d'animaux. Dans l'étang au nénuphars, Dès les premiers pas les poissons vous ont à l'oeil, entre deux remontées à la surface pour reprendre leur respiration....les carpes Koï, rivalisent de voracité en offrant un spectacle surprenant et permanent.
Dans la volière, vous verrez les loriquets, petits perroquets d'Australie aux couleurs vives , se prêtent volontiers au jeu de la photo. Quelques clichés, et la promenade se poursuit jusqu'à deux autres curiosités : l'enclos aux flamands et le village des perroquets. A l'issue de la visite, l'aire de jeux l'île aux enfants et le parc à cabrius acceuillent les jeunes visiteurs.
Itintéraire : A Deshaies : En venant de Sainte-Rose, dépasser le bourg de Deshaies, puis tourner à gauche, au niveau du panneau qui se trouve dans la montée de l'Estomace à Frédéric.
Infos : Durée de la visite : 1h à 1h30
Tarifs : 14€ (adultes à - 10€ (enfants de 5 à 12 ans) - Groupes de 20 personnes minimum : adultes, 12,50€. Enfants : 8,50€
Horaire : du Lundi au dimanche de 9h à 16h30 - Fermeture du jardin à 17h30
Tél : 0590 28 43 02
Site web : www.jardin-botanique.com
A noter : comptez environ 1h30 pour la visite. Le jardin botanique compte un restaurant (mettre une photo) panoramique (fermé du 15/9 au 15/10) et un snack.
Autre : Ouvert en 2001, le jardin botanique est situé sur une propriété de 7 hectares qui a appartenu à Coluche. Michel Gaillard, paysagiste pépiniériste, ami de Colluche, avait implanté en Guadeloupe une pépinière de production de palmiers pour alimenter son entreprise parisienne. En juin 1985, Coluche lui demande d'entretenir sa propriété en échange de l'utilisation des terres pour y créer sa pépinière.